• A propos de Damiens.

    DAMIENS (Robert François), naquit à Thieulloy, dans le diocèse d'Arras, le 9 janvier1715. Son père était portier à la prévôté d’Arc, près de Saint-Omer. Les inclinations vicieuses deDamiens le firent appeler, dès sa jeunesse, Robert le diable. Un de ses oncles, cabaretier. à Béthune, lui fit apprendre à lire et à écrire, et le mit en apprentissage chez un serrurier.
    Bientôt après Damiens s'enrôla : son oncle acheta son congé, il s'enrôla une seconde fois,
    déserta, et entra dans l’abbaye de Saint-Waast d'Arras pour y apprendre la cuisine. Il n'y resta pas longtemps, et servit., en qualité de domestique, un officier suisse avec lequel il se trouva au siège de Philipsbourg. Il passa bientôt au service du comte de Raymond, et fit avec lui un voyage en Bavière. Un de ses oncles, maître d'hôtel au collège de Louis le Grand, à Paris, le fit recevoir en qualité d'un de ces valets de réfectoire appelés cuistres. Quinze mois s'étaient écoulés, lorsqu'ayant refusé de se soumettre à une punition, sans doute méritée, Damiens fut congédié ; mais après avoir servi dans diverses maisons pendant l'espace d’une année, il rentra comme domestique dans le même collège. On remarqua qu'il était taciturne, emporté, toujours disposé à s'élever contre ses supérieurs.
    En 1739 il épousa une des femmes de la comtesse de Crussol, et sortit du collège. Il continua de servir des maîtres de toutes conditions, des jansénistes, des molinistes, des parlementaires, la Bourdonnaye, à qui il vola 50 louis ; Beze de Lys, conseiller au parlement, qui le garda pendant deux ans ; la maréchale de Montmorency, qui le congédia comme ivrogne etquerelleur, madame de Sainte-Rheuse, qui le chassa, après lui avoir prédit qu'il serait rompu vif, etc. Damiens Changeait souvent de nom. Son inconstance et la sombre inquiétude de son caractère ne lui permettaient guère de rester longtemps dans la même maison. Il était vain, curieux, nouvelliste, frondeur, hardi et dissimulé il s'apercevait lui-même de l'effervescence
    de son sang, et cherchait à la calmer par de fréquentes saignées. Sa taille était assez élevée ; il avait le visage un peu allongé, le nez aquilin, le regard perçant et la bouche enfoncée. « C'était
    un homme, dit Voltaire, dont l'humeur sombre et ardente avait toujours ressemblé à la démence. » À cette époque, la cour était divisée. La marquise de Pompadour avait son parti ; le dauphin en avait un autre. La querelle née du refus des sacrements agitait tous les esprits.Les parlements occupés d'affaires religieuses, étaient comme en insurrection ; cent quatre-vingts membres du parlement de Paris avaient donné leur démission.
    La guerre embrasait l'Europe ; le peuple souffrait et murmurait : les discours étaient violents, et Damiens put facilement s'exalter. Il servait depuis quelques jours un négociant de Pétersbourg, lorsque le 14 juillet 1756 il lui vola 240 louis, et s'enfuit en poste à Arras. Son signalement fut envoyé dans l'Artois. Il le sut, tomba dans un accès de fureur, et essaya de se détruire à force d'émétique ou de poison. Il se rendit ensuite à Saint-Venant, se fit saigner plusieurs fois, et, se trouvant un jour à Poperingue, il dit : « Si je reviens en France... oui, j'y reviendrai ; j'y mourrai, et le plus grand de la terre mourra aussi, et vous entendrez parler
    de moi. » II se fit saigner le 4 novembre à Austreville, et le 20 décembre à Arras. Il prit pendant plusieurs jours de l'opium. On l'entendit parler seul et se plaindre des malheurs où il allait plonger sa femme et sa fille. Il avait successivement pris le nom de Lefèbre, de Flamant, et il portait celui de Guillemant, lorsque le 25 décembre il se fit enregistrer au bureau des carrosses, sous le nom de Bréval. Il arriva le 31 dans la capitale, il se hâta de visiter son frère, sa femme et sa fille, qui lui reprochèrent son imprudence. Il promit de quitter bientôt Paris, annonça à sa fille qu'elle ne le reverrait plus, et que la démission des membres du parlement était le motif de son retour.
    Le 3 janvier 1757, à onze heures de la nuit, il prit une chaise au bureau des voitures de la Cour, et arriva seul à Versailles sur les trois heures du matin, il descendit dans une auberge, se coucha, et dormit jusqu’à deux heures de l’après-midi. Il sortit ensuite, se promena dans le parc et dans les cours, passa quelque temps au cabaret, et revint à son auberge à onze heures du soir. Le lendemain (5janvier 1757) il était encore au lit à deux heures après midi. Il demanda un chirurgien et voulut être saigné, mais on crut qu’il plaisantait et cette demande resta sans suite. Damiens soutint depuis ; dans tous ses interrogatoires, que, si on lui avait tiré du sang, il n'aurait point attenté à la vie du roi. Il sortit sur les trois heures par un froid rigoureux. On le vit rôder dans les cours du château. Un garde de la porte entendit un inconnu qui, l'abordant sous
    la voûte de la chapelle, lui dit : « Eh bien ! » et Damiens qui répondit : «. Eh bien ! j'attends. »
    Louis XV était revenu dans l'après-midi de Trianon, pour Voir Madame Victoire qui était malade. Sur les six heures, il sortit de l'appartement de la princesse accompagné du dauphin et des grands officiers de la couronne. Damiens s'était caché dans un petit enfoncement au bas de l'escalier. Le roi allait monter en carrosse, lorsque, pénétrant à travers la haie des gardes du corps et des cent- suisses le monstre se précipite au milieu des courtisans, heurte en passant le dauphin etle duc d'Ayen, capitaine des gardes, et, armé d'un couteau, frappe le monarque au côté droit, au dessus de la cinquième côte. Louis s'écrie : « On m'a donné un coup de coude, » puis, passant la main sous sa veste, il la retire ensanglantée, et dit : « Je suis blessé  » au même instant, il se retourne, et, apercevant Damiens qui avait conservé son chapeau sur la tête : « C'est cet homme-là, dit-il, qui m'a frappé ; qu'on l'arrête et qu'on ne lui fasse point de mal. » Damiens aurait pu s'évader dans la foule, au milieu du désordre. Mais il restait immobile lorsqu'il
    fut saisi par un des valets de pied, et conduit dans la salle des gardes. On trouva sur lui une somme d'or assez considérable (8 à 900 francs) ; un livre intitulé : Instructions et Prières chrétiennes, et le couteau, instrument de son crime. Il était composé de deux lames, l'une large et pointue, et l'autre en forme de canif, longue de quatre à cinq pouces.
    Damiens s'était servi de cette dernière. Tandis que l'effroi régnait dans le château, qu'on cherchait des chirurgiens et un confesseur, qu'on ignorait si la blessure, profonde de quatre travers de doigt, n'était point mortelle, et si elle n'avait point été faite avec une arme empoisonnée, le régicide répéta plusieurs fois : « Qu'on prenne garde à M. le dauphin ! que M. le dauphin ne sorte point de cette journée ! » L'alarme devint alors générale, et les esprits troublés crurent qu'il existait une conspiration contre la famille royale. Le garde des sceaux (J. B. de Machault), saisissant lui-même Damiens au collet, le fit tenailler aux jambes avec des pinces rougies à un feu ardent. ; il ordonna qu'on apportât plusieurs fagots, et menaça l'assassin de le faire jeter dans les flammes, s'il ne nommait ses complices : « Ils sont bien loin, dit-il, et si je les déclarais, tout serait fini. » Depuis, il avoua plusieurs fois qu'il avait des complices. On lui offrit sa grâce s'il voulait les nommer, il répondit Je ne le puis, ni ne le dois. » Une autre fois, pressé de parler, il s'écria : «Que de monde dans l'embarras ! » Mais dans la suite il se rétracta, soutint jusqu'à la mort qu'il n'avait point de complices, et répondit à toutes les promesses de grâce : « Je ne puis y compter. Je dois
    mourir, et je veux, mourir comme J.-C., dans, les douleurs et les tourments. » On pourrait croire, d'après cette réponse, que le fanatisme religieux avait armé son bras, mais il fut acquit au procès, par ses aveux et par divers témoignages, qu'il déclamait souvent contre le clergé, et que, six mois avant de commettre son crime, il refusait d'aller à la messe. Le prévôt de l'hôtel s'empara du coupable et commença contre lui une première procédure. En même temps le prince de Croy se rendit à Arras, et fit faire de longues informations qu'il dirigea lui-même. Dès que la nouvelle de l'assassinat du roi se fut répandue dans Paris, on fut généralement étonné et révolté d'un crime qui ne s'était pas renouvelé depuis un siècle et demi. Damiens osa écrire au roi une lettre singulière que Voltaire a insérée dans son Précis du siècle de Louis XV. Il ne restait du parlement de Paris que la grand'chambre ; le 15 janvier, des
    lettres patentes lui attribuèrent l'instruction du procès. Cette instruction fut dirigée par le premier président (de Maupeou) et le second président  (Molé). Le doyen Severt fut nommé rapporteur, et le conseiller (Pasquier), second rapporteur. Damiens fut transféré à la Conciergerie, le 18, à deux heures de la nuit. On avait pris des précautions inouïes, et l'appareil fut extraordinaire. Il y avait défense à qui que ce fût de se mettre aux fenêtres pour voir passer ce misérable. Il était dans un carrosse à quatre chevaux, accompagné d'un chirurgien du roi, et de deux gardes de la prévôté. Six sergents marchaient à chaque portière,
    de nombreux détachements formaient l'escorte, d'autres battaient les avenues ; d'autres étaient placés de distance en distance depuis Versailles jusqu'à la conciergerie. Arrivé à la porte de cette prison, Damiens fut mis dans une espèce de hamac, afin qu'il n'essayât point de se détruire contre les murs, tandis qu'on le montait au premier étage de la tour de Montgommery, où il fut enfermé dans la même chambre qu'avait occupée Ravaillac. Des sentinelles furent placées dans l'escalier.
    Un corps de garde de 100 hommes fut établi à la Conciergerie. Quatre sergents du régiment des gardes étaient nuit et jour dans la chambre, huit autres dans la pièce au-dessous.
    Damiens était couché sur un lit entouré d'une estrade matelassée. Les bras, l'estomac, les cuisses et les jambes étaient assujettis par de nombreuses courroies qui se rattachaient à des anneaux scellés à terre. Les plaies occasionnées par la brûlure des jambes faite à Versailles, forcèrent Damiens de rester couché pendant plus de deux mois. Quatre soldats faisaient auprès de lui les fonctions d'infirmiers.
    Un officier de la bouche, chargé de sa nourriture, suivait le. régime prescrit par les médecins, et un chirurgien, qui couchait dans la prison, faisait l’essai de tous les aliments. Le médecin Boyer le visitait trois fois par jour. Enfin, les frais que coûtait au domaine ce misérable, montaient à plus de 600 livres par jour. Le premier interrogatoire devant les commissaires commença le 18 janvier et ne fut clos que le 17 mars.
    Damiens fit cette déclaration : « Je n'ai point eu l'intention de tuer le roi ; je l'aurais tué, si je l'avais voulu. » (On crut en effet que le coup eût pu être mortel, si Damiens s'était servi de la grande lame du couteau, aiguisée en forme de poignard), « Je ne l’ai fait que pour que Dieu pût toucher le roi, et le porter à remettre toutes choses en place, et la tranquillité dans ses États.
    II n'y a que l'archevêque de Paris seul qui est cause de tous ces troubles. » Cent-vingts témoins furent entendus à Paris, et soixante-deux à Montdidier.
    Cinq princes du sang, vingt-deux pairs, quatre maîtres des requêtes, et les présidents honoraires, réunis à la grand'chambre, suivirent avec la plus grande exactitude l'instruction du procès.
    Quoique l'usage fût de n'accorder un confesseur au criminel qu'après sa condamnation, on en donna un à Damiens plusieurs jours avant son jugement : c'est ainsi que deux -docteurs de Sorbonne avaient été envoyés à Ravaillac, pendant l'instruction de son procès, pour l'engager à déclarer ses complices. Le 26 mars, Damiens comparut devant ses juges, qu'il regarda avec fermeté ; il en reconnut et en nomma plusieurs, se permit quelques plaisanteries ; montra beaucoup de résolution, et presque de la gaîté. Il fut condamné au
    même supplice qu'avait subi Ravaillac. Le 28, on lui lut son arrêt. Il l'écouta à genoux, avec attention, sans se troubler, et dit en se relevant : « La journée sera rude. »
     La sentence portait qu'il serait appliqué à la question ordinaire et extraordinaire, il avait été agité solennellement de quelle torture on ferait usage. Des mémoires furent demandés et fournis. Les chirurgiens de la cour décidèrent que, de tous les genres de tortures, le moins dangereux pour la vie du patient était celui dont on se servait au parlement, et qu'on appelait
    la question des brodequins. Damiens jeta d'abord de grands cris, s'écria : « Ce coquin d'archevêque, » et demanda à boire. On lui donna de l'eau, mais il voulut qu'on y mêlât du vin, et dit : « Il faut ici de la force. » Le premier président renouvelait les interrogatoires, et insistait pour connaître les complices : « Qui vous a induit à commettre le crime ? - C'est Gauthier, » répondit Damiens.
    C'était pour la première fois qu'il nommait cet individu. Il indiqua sa demeure, et l'accusa d'avoir dit devant son maître (De Ferrières), qu'assassiner le roi serait une œuvre méritoire. Gauthier et De Ferrières furent amenés à la chambre de la question.
    Gauthier dénia le propos qui lui était imputé et De Femères sa présence lorsqu'il fut tenu.
    Damiens persista dans sa déclaration. De Ferrières fut relâché mais Gauthier fut envoyé en
    Prison. Les tortures de Damiens n'avaient cessé qu'après l'avis des médecins., qu'on ne pourrait les prolonger sans danger pour sa vie. Deux docteurs de Sorbonne, l’un janséniste, l'autre moliniste, Guéret, curé de Saint-Paul, et de Marcilly, confessèrent Damiens, chacun séparément, et se réunirent ensuite pour l'exhorter dans ses derniers moments, il parut assez pénitent dans la cérémonie de l'amende honorable, faite, suivant l'usage, devant la porte de la métropole, Arrivé à la Grève, il témoigna le désir de parler aux commissaires, parut devant eux à l'hôtel de ville, demanda pardon à l'archevêque des paroles injurieuses qu'il avait proférées contre lui, protesta de l'innocence de sa femme et de sa fille, et persévéra à soutenir qu'il n'y avait dans son crime, ni complots ni complices : « Je me proposais, dit-il, de venger la gloire et l’honneur  du parlement, et je croyais rendre un service à l’Etat.
    On le conduisit à l’échafaud. Lorsqu'il eut été déshabillé, il regarda tous ses membres avec attention, et promena un regard assuré sur la foule prodigieuse qui couvrait la Grève, remplissait toutes les croisées, et surmontait les toits. Les bourreaux brûlèrent d'abord, avec un feu de soufre, la main droite de Damiens armée du couteau parricide. La douleur lui arracha un cri terrible ; ensuite il leva la tête, et regarda assez longtemps sa main sans cris et sans imprécations. On  l'entendit hurler lorsqu'il fut tenaillé aux bras, aux jambes, aux cuisses, aux mamelles, et qu'on jeta dans les plaies le plomb fondu, l'huile bouillante, la résine, la cire et le soufre brûlants. On remarqua qu'il considérait toutes les parties de l’horrible appareil de son supplice avec une singulière curiosité.
    Enfin, les efforts de quatre chevaux vigoureux duraient depuis plus d'une demi- heure pour opérer l’écartélement. L'extension des membres était incroyable, il fallut que les commissaires ordonnassent qu'on coupât les muscles principaux. Le jour touchait à son déclin, et l’on désirait que le supplice fût terminé avant la nuit. Damiens avait perdu deux cuisses et un bras, il respirait encore... Ce ne  fut qu'au démembrement de son dernier bras qu'il expira. Le tronc et les membres épars furent aussitôt jetés et consumés dans un bûcher dressé auprès de l'échafàud. Un arrêt du parlement bannit à perpétuité, sous peine de mort, le père, la femme et la fille du condamné, enjoignit à ses frères et à ses sœurs de changer de nom, et ordonna que la maison où il était né serait rasée jusqu'à ses fondements.

    Le Breton,  greffier criminel du parlement, a publié les Pièces originales et procédures du procès fait à Robert-François Damiens, Paris, 1757, in-4° et- 4 vol. in-12.

    « A propos de Clara Zach (un exemple des moeurs au Moyen Âge).Les guerres de Vendée. »

  • Commentaires

    4
    Princess
    Vendredi 25 Janvier 2013 à 19:03

    Pour moi, effectivement, le jansénisme, c'est le XVIIe et Pascal. Ensuite, il y eut de nombreuses dérives, avec des manifestations de l'ordre de l'hystérie.

    Je crois aussi que comme sans doute pour Ravaillac, ce fut un acte isolé, personnel. En tout cas, j'ai appris des choses. J'aurai des choses à raconter à ma Maman demain matin ! Et elle sera ravie !!! 

    3
    LULU.
    Vendredi 25 Janvier 2013 à 18:46

    La journée fut rude ....éffectivement  !!!  Ça rigolait pas ...a l'époque  !!!  C'était même pas dissuasif ...

    2
    JPL33 Profil de JPL33
    Vendredi 25 Janvier 2013 à 18:27

    Tu es très pointue Princess. Mais vers la fin du règne de Louis XIV le jansénisme déborda le terrain religieux. Les persécutions royales en avaient fait une sorte de parti politique, allié aux parlementaires et opposé à l’absolutisme monarchique. Il bénéficia donc de la réaction générale qui suivit la mort du « Roi Soleil ». Il existait, à côté du jansénisme populaire, un jansénisme épiscopal et un jansénisme parlementaire qui resta très influent jusqu’à la Révolution, mena la guerre contre les jésuites et contribua beaucoup à l’affaiblissement de la monarchie. On comprend ainsi mieux ce qui s’est passé lors des interrogatoires de Damiens, cette recherche de complicités, cet essai de prouver un complot, jésuite ou janséniste. Mais son attentat fut bien un acte personnel, d’un déséquilibré, sans mobile politique.

    1
    Princess
    Vendredi 25 Janvier 2013 à 18:01

    Je ne connaissais l'histoire qu'à partir du coup de couteau. Mais c'était un drôle de "paroissien", si j'ose dire. C'est curieux que tu cites deux fois des jansénistes, alors qu'au XVIIIe, ils avaient quasiment disparu. 

    Ce qui est étrange aussi, c'est le mélange chez ce personnage des pires aspects de sa personnalité, et la forme de courage dont il fit preuve. J'ignorais qu'il s'était passé autant de temps entre le coup donné à Louis XV et son exécution. Bizarre aussi qu'on se donne autant de mal pour le soigner, alors qu'on va le massacrer. 

    Mais là aussi quand même, il y eut une menace sur la famille, même si elle ne fut pas massacrée d'office, comme dans le cas de Zach ! 

    On en apprend des choses avec toi !!! 

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :